Boris Bergmann est né à Paris en 1992. À 15 ans, il publie son premier livre Viens là que je te tue ma belle (Scali), pour lequel il reçoit le prix de Flore du lycéen en 2007. L’oeuvre est adaptée pour Arte par le réalisateur Jean-Stéphane Sauvaire avec, entre autres, Béatrice Dalle. Fort de ce premier succès, Boris Bergmann continue à écrire : un roman sur le mensonge (1000 mensonges, Denoël, 2010), un autre sur l’engagement (Déserteur, Calmann-Lévy, 2016), un, enfin, sur le désir (Nage libre, Calmann- Lévy, 2018). Fin 2018, il reçoit le prix littéraire de la Vocation et le prix Révélation de la Société des Gens de Lettres pour Nage libre. Cette même année, il est pensionnaire de la Villa Médicis ; il y travaille à son cinquième roman et à un premier recueil de poésies. Ses recherches récentes le portent vers la question des extrêmes : fanatisme et amour pur, révolution et rêves…